Habitant·e·s de Normandie, spécialistes du milieu marin, étudiant·e·s, ou professionnel·le·s, contribuez au nouveau programme de recherche participative "Voyons large !" pour imaginer et co-construire une vision commune du large.

Loin des yeux, loin du cœur. Peut-on appliquer cet adage au large qui a fasciné et nourri l’imaginaire de l’humanité, des grands explorateurs et des grandes navigatrices ? Quelles sont les représentations véhiculées par la zone de pleine mer, celle qui s’étend au-delà du regard des habitant·e·s ou des touristes qui fréquentent le littoral ? Quelles aspirations ou revendications juridiques, environnementales ou économiques peuvent être portées par la population en dialogue avec les usager·ère·s du large ? En quoi le milieu marin constitue-t-il encore, ou non, un commun ?

TROIS RENDEZ-VOUS
POUR VOIR PLUS LARGE

Afin d’explorer ces questions et d’en faire émerger de nouvelles, Le Dôme vous invite à participer à "Voyons large !", une série de trois rencontres-ateliers organisée en avril et en mai 2025 au Havre, à Rouen et à Caen.

Chacun de ces 3 rendez-vous sera l'occasion de cartographier les perceptions et les représentations des activités en mer. Mais aussi d’informer et de réactualiser la part entre le vrai, le faux et le flou sur les connaissances, l’exploitation et la gestion du milieu marin. L’ensemble de la démarche fera l’objet d’un carnet de recherche et de publications accessibles à tou·te·s afin de poser un regard commun, d’envisager et d’imaginer par la suite avec les publics des solutions durables en dialogue entre les acteurs et actrices (élu·e·s, entrepreneur·e·s, habitant·e·s, …).

Le programme de recherche participative "Voyons large !" est porté par le Groupement d’intérêt scientifique pour l’étude des effets cumulés en mer (ECUME) et le Centre de recherche sur les risques et les vulnérabilités (CERREV) en collaboration avec Le Dôme. Il vise à étudier les représentations et les controverses sur les activités humaines en Manche, une des zones marines qui en concentrent le plus dans l’océan mondial.